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ApreÌ€s avoir initieÌü une tentative de compreÌühension de ses parents avec Qui a tueÌü mon peÌ€re, l'auteur poursuit sa deÌümarche en se consacrant cette fois aÌ€ sa meÌ€re. Il montre comment celle-ci, accableÌüe par un emploi alieÌünant et une vie de couple inexistante, retrouve l'eÌülan vital en s'installant aÌ€ Paris et en renouant avec son fils.

Antoine, un assistant parlementaire, commence à sentir la défiance générale envers les politiciens déteindre sur lui. Sa rencontre avec une hackeuse se faisant appeler L. survient alors que le compagnon de cette dernière vient d'être arrêté pour hacking. Les deux trentenaires, engagés politiquement chacun à sa manière, se rapprochent tandis que L. se sait observée, voire menacée.

Pour eÌüchapper aÌ€ l'atmospheÌ€re plombeÌüe qui nous eÌütouffe, Jean TeuleÌü a deÌücideÌü d'aller voir les gens, de s'asseoir aÌ€ leur table et d'eÌücouter leurs histoires. Il n'a pas regretteÌü le voyage. Ils sont incroyables, les gens. Ils sont capables de tout. OuÌ€ vont-ils chercher cette stupeÌüfiante eÌünergie ? Comment peut-on se montrer tour aÌ€ tour si meurtris et si joyeux ? EÌétre tout aÌ€ la fois si tendres, eÌümouvants et feÌüroces. Ne jamais renoncer, ne jamais ceÌüder, toujours inventer, toujours reÌéver et toujours rire. Et comme le disait si bien Verlaine : EÌücoutez la chanson bien douce Qui ne pleure que pour vous plaire Elle est discreÌ€te, elle est leÌügeÌ€re. Un frisson d'eau sur de la mousse. Respirez ! AÌ€ fond ! Et laissez vous emporter par la fantaisie malicieuse et cruelle de Jean TeuleÌü qui dit l'extraordinaire des destins ordinaires.

Recueil d'une vingtaine d'histoires aussi courtes qu'infectes dans lesquelles C. Bukowski raconte ce que les autres dissimulent : le sexisme, la misère du quotidien, la violence et les sentiments des humbles...

On me conseilla le gin pur. J'en pris. Mark Twain.